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978-2954485232
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From the backcover:
"She is the muse and the lover, Milo. Sometimes feline, sometimes mysterious or melancholic." A hand with painted nails brushes a silk curtain, a leg in tension on a colourful striped staircase, a body leaning over the lines of the city, naked or adorned with a garter belt. Vulnerable but strong, in the middle of the forest, on a bed, an apartment, everywhere.
There are no stories, but the lyrics of Nicolas Comment's albums are thrown there, as clues to be grasped by the reader-voyeur. Clues? The photographer and musician reveals here more than he says: he is the lover's heart, passionate, at the mercy of a longing and a cult of women, the sharp-eyed individual who discovers poetry through a ray of light, the reflection of a window or the frowning of a sheet.
There are no stories, No, they are multiple and offered on a platter of materials and meaning, to the imagination.
Milo is the third work from the Collection Desseins, a plea to body, nudity, sexuality or pornography - reunited by Editions Chicmédias.
-- Cécile Becker "
Texts & Photographs by Nicolas Comment. Model : Milo McMullen.
The images presented here were taken from the artist's website.
Additional link (in French) : presentation of the book on Fabien Ribéry's excellent blog.
108 pages - Softcover w/ French flaps
chicmedias, 2016
Format : 16.7 x 22 cm
New - Mint condition
Warning: Last books in stock!
Foreword by the artist (French only) :
"Si j'ai, jusqu’alors, pris soin de séparer mes photographies de mes chansons, c’est parce que j’ai toujours fait en sorte d’aborder ces deux moyens d’expression dans leur autonomie et leur histoire propre, ce, pour éviter qu’ils ne s’annulent. Je ne suis pas un touche-à-tout et la modestie de la photographie – comparée au cinéma – ou l’humilité de la chanson – comparée à la littérature ou à la grande musique – me suffisent amplement.
Appréciant par-dessus tout la légèreté des cartes postales et la volatilité des chansons, je me suis rendu compte que la spécificité qui semblait au départ les distinguer, en fait, les rapprochait. Ainsi, ces arts dits « mineurs », qui font appel tous deux à l’enregistrement par la vertu de la reproductibilité technique, rendent possible un même rêve : perpétuer un instant en lui redonnant vie indéfiniment. Charles Cros, lui, l’avait compris très tôt en comparant la photographie avec le phonographe dans son poème Inscription :
Comme les traits
dans les camées
J’ai voulu que les voix aimées
Soient un bien, qu’on garde
à jamais,
Et puissent répéter le rêve
Musical de l’heure trop brève
Le temps veut fuir, je le soumets.
Si je déroge donc ici avec plaisir à la règle que je m’étais donnée, c’est parce que Bruno Chibane – en m’invitant à publier un livre de photographies dans sa collection à caractère érotique desseins – m’a poussé dans mes retranchements en me proposant de leur adjoindre des textes. Je me suis donc laissé faire en lui proposant de publier ici l’intégralité des paroles de mes chansons enregistrées.
-- Nicolas Comment "